
Le violon tranchant de Jeanne Lamon et surtout la magnifique flûte de Grégoire Jeay ont tous offert une musique du plus haut niveau.
The Globe and mail, 19 janvier/January 2013.
Son meilleur air (Karina Gauvin) Will the Sun Forget to Streak, magnifiquement introduit et hanté par la flûte solo de Grégoire Jeay…
The Globe and mail, 5 novembre/November 2007.
Ce fut un plaisir d’avoir le flûtiste invité Grégoire Jeay qui nous a montré sa manière agile avec le son merveilleusement doux d’une flûte traversière baroque.
John Terauds, Ludwig van Beethoven
On a donc remarqué au moins autant Grégoire Jeay (encore plus spectaculaire dans les Bourrées que dans la Badinerie de la Suite) que Benjamin Alard et le rappel, une reprise du Menuet de la Suite, plutôt qu’un mouvement d’un concerto pour clavecin qui aurait donné à l’invité de marque l’occasion de briller encore un peu, a tout fait pour nous en convaincre.
Christophe Huss, Le Devoir
